halo*halo dezoito

je vis la crise de la mercerie française comme un véritable enfer. faute de rue de clignancourt dans ma province et les promos ryan air m'ayant donné des ailes, je pique vers le sud m'enivrer à porto, faire des oraisons à braga et surtout le plein de froufrous à lis-boa. car je suis certaine de trouver chez nos amis de lusitanie un paradis, presque perdu chez nous, de rubans et dentelles grâce auxquels mes répliques de maria ne passeront pas l'été dans leur tenue d'eva.